J’ai toujours voulu faire du piano. Mais les études furent insupportables ! J’ai tout essayé. Et fini par abandonner ; depuis, mon piano n’était plus qu’un magnifique meuble, et souvent, je m’en voulais de ne plus jouer et d’avoir craqué si près du but… Mais ça y est ! J’ai enfin trouvé le moyen de jouer tout de suite, sans prise de tête et sans études compliquées. La solution pour enfin jouer et s’amuser en même temps, c’est peut-être, à nouveau, d’apprendre le piano, mais en ligne. Après mon inscription, je m’y suis mise, et là, j’ai compris que jouer du piano, ça pouvait être vraiment fun dés le départ. Plus d’études fastidieuses, de solfège, de prof centenaire et poussiéreux, on joue même un morceau avec les 2 mains au bout de 2 heures ! Grandiose, je vous dit.
Essayez, vous-aussi, et souvenez-vous que dans l’expression qui mène au piano, il y a, avant toute chose, « jouer ». On a tous eu le même fantasme : Qui n’a pas rêvé de savoir jouer du piano ? Debout, (certaines l’ont même chanté !), ou même assis pour un peu plus d’efficacité et de confort, la vie actuelle nous offrant de nouvelles perspectives inimaginables il y a encore 10 ans. Apprendre le piano en ligne, seul face à nous-mêmes… Mais voilà qui demeure un vrai défi dans le temps, car si le pianiste suscite l’admiration de tous, c’est bien parce qu’on dit que jouer, avec ou sans partition devant les yeux, sans fausse note, avec touché et sensibilité, est difficile, pour ne pas dire impossible au commun des mortels. Il faut avoir étudié et répété longtemps pour bien oeuvrer ; et souvent dans la douleur, tant il faut refaire et refaire les mêmes exercices des milliers de fois afin, ainsi, peu à peu, d’obtenir cette impression de naturel et de fluidité. Jouer du piano peut être un don du ciel, mais si ça n’est pas accompagné du travail adéquat, alors il n’y aura de résultat que celui de l’élève débutant dont les doigts coincent si régulièrement qu’on en oublierait la musique elle-même ou encore la mélodie qu’on essaie de voir apparaître.
En tout cas, cette alternative, (qui permet d’apprendre sur Internet, pour moins cher qu’avec un prof particulier et de manière moins ennuyeuse que dans un conservatoire), n’est possible que parce que des visionnaires comme Monsieur Poisson ont identifié les vrais problèmes rencontrés par les élèves depuis des générations, avant de tenter d’y remédier. Le seul fait de s’intéresser au taux d’abandon des apprentis pianistes et de tenter de comprendre pourquoi il n’y avait pas plus de musiciens au sortir de l’adolescence, est déjà tellement rare qu’il faut saluer cette preuve d’intelligence et d’ouverture d’esprit. Car nombreux sont les professeurs qui ne font que reproduire les schémas qu’ils ont intégré en souffrant beaucoup eux-même, sans se poser trop de questions ; un peu comme l’enfant violé qui reproduit les mêmes gestes violent envers une autre personne une fois à l’âge adulte. Appendre le piano en ligne est donc définitivement une amélioration des conditions d’accès à la musique, à tous les niveaux, économiquement bien sûr, mais pas seulement. La satisfaction, le plaisir ou encore le bonheur de jouer sont presque instantanés, alors qu’avec les méthodes traditionnelles, il faut souvent attendre plus d’un an avant d’espérer approcher l’instrument lui-même. (Solfège oblige !) Je vous laisse imaginer comment garder la motivation…
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